The Sigle of the University

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Colloque international de mass - media

UNIVERSITE D’ORADEA
CENTRE INTERNATIONAL DE RECHERCHE EUROREGIONALES D’ORADEA (CICERO)

UNIVERSITE DE REIMS CHAMPAGNE-ARDENNE
CENTRE D’ETUDE REMOIS DES RELATIONS INTERNATIONALES (CERRI)

INSTITUT INTERNATIONAL DES ETUDES ADMINISTRATIVES, Bruxelles

Vous invitent au colloque international

Le rôle de mass media et des nouvelles technologies de l’information et de la communication dans la démocratisation des sociétés de l’Europe Centrale et de l’Ouest

11 - 14 octobre 2001
Oradea, ROUMANIE


Sous le haut patronage du Ministère Roumain des Informations Publiques.


 

Bienvenu à Oradea!

Oradea, avec ces 240.000 habitants, est portante d’une longue cohabitation multiculturale, où aux formes de culture roumaine se mêlent des traditions de la culture hongroise, juive, macedo-roumaine, allemande, slovaque etc. L’Humanisme, le Baroque, les Lumières et le Romantisme et surtout le „Secession” de fin du XIXe siècle ont mis leur amprente sur l’image cotidienne d’Oradea. Dans une telle ambience de riche tradition historique, Oradea a été un centre d’enseignement important dans cette partie de l’Europe.

Dans l’atmosphère des Lumières de fin du XVIIIe siècle, on inaugure à Oradea, en 1780 une „institution supérieure d’enseignement philosophique” transformée en 1788 en Faculté de Droit, la plus ancienne faculté, non seulement dans la Roumanie d’aujourd’hui, mais aussi dans une vaste région de l’est de l’Europe. En 1923, par la fondation des deux Academies Téologiques, une orthodoxe et l’autre gréco-catholique, la vie universitaire d’Oradea va prendre des nouvelles dimensions. Seulement en 1934, dans des circonstances qu’on veut ignorer, le nuclée universitaire d’Oradea, La Faculté de Droit, après un siècle et demi, est  transferée à Cluj.

Presque trois décennies se sont écoulées depuis qu’on a fait entrerompre l’activité de l’Academie de Droit d’Oradea, et enfin, le 1 octobre 1963, on fonde à Oradea l’Institut Pédagogique de 3 ans, ayant l’intention de compléter la pénurie de cadres didactiques de l’enseignment de culture générale.

Dès 1983, grâce à une politique éducationnelle fautive, les spécialisations didactiques et humanistes restraignent leur activité et, d’une institution d’enseignement prospère tout ce qui reste est un institut de sousingénieurs, affilié à l’Institut Politehnique de Cluj.

En mai 1990, par un décret du gouvernement roumain on fonde lUniversité Technique nommee plus tard l’Université d’Oradea, se basant sur des traditions universitaires renommees d’Oradea. C’etait une réparation culturelle et scientifique depuis longue temps desirée dans la vie de la société  roumaine. Aujourd’hui, l’Université d’Oradea est une institution d’enseignement supérieur complète, qui comprend 15 facultés, 7 collèges et 24.000 étudiants.

Hors l’université, il fonctionnent aussi le Centre National de Recherches Géothermales, le Centre des Recherches Médicaux, le Centre de Recherche EuroRégionaux, l’organisateur de cette manifestation.

L’Université d’Oradea, en qualité de hôte de cette manifestation scientifique internationale au thème „Le rôle du média et des nouvelles technologies de l’information et de la communication dans la démocratisation des sociétés de l’Europe Centrale et Orientale”, en souhaitant le bienvenu aux notre invités.

Président d’honeur du colloque
Prof. Univ. Dr. Ing. Teodor MAGHIAR
Recteur de l’Université Oradea

 

Chers collègues,

J’ai l’honneur de présider le colloque sur Le rôle des mass media et des nouvelles technologies de l’information et de la communication dans la démocratisation des sociétés de l’Europe Centrale et Orientale, organisé par les Universités d’Oradea (Roumanie) et de Reims (France) dans le cadre des excellents rapports qui sont établis à partir de 1997 entre les deux institutions.

Pourquoi s’intéresser à un tel sujet? Tout simplement parce que changements démocratiques et médias semblent intimement liés. L’histoire de l’Europe nous le confirme aujourd’hui comme hier. La chute du Mur de Berlin, dans la nuit du 8 au 9 novembre 1989, a en effet été le point de départ symbolique de l’effondrement progressif des régimes communistes mis en place par Moscou, en même temps que de celui d’une recomposition territoriale et politique des pays de l’Europe Centre et Orientale. Depuis au moins douze ans maintenant, on aura observé la survenance de deux phénomènes concomitants dans cette autre Europe. D’une part, l’ouverture et la perméabilité des pays de la région à la "communication globale", avec l’impossibilité, désormais, de se tenir à l’écart des flux informationnels et communicationnels. Et, d’autre part, la tentative de recomposition du paysage politique sur le modèle de la démocratie libérale, modèle resté sans concurrent avec la disparition du modèle alternatif communiste.

Cette vague de démocratisation politique qu’a connue l’Europe Centrale et Orientale doit énormément - parallèlement à la volonté de changements exprimée par les peuples eux-mêmes - à l’explosion des échanges d’informations de l’Ouest vers l’Est et aux progrès des techniques d’information et de communication qui les ont rendu possibles. Ces progrès techniques ont eu une conséquence essentielle, celle de rendre impossible ou du moins de plus en plus difficile à l’Etat communiste la poursuite du contrôle étroit du flux des informations entrantes et sortantes ou de faire taire les velléités d’expression des citoyens. Ces Etats communistes n’avaient plus dès lors les moyens d’empêcher la naissance ou la renaissance d’une opinion publique et d’un espace public de discussion au sein duquel les médias vont dorénavant occuper une place centrale.

Car, il faut le rappeler, avant d’être nationalisés pour servir d’outils de propagande aux Etats et aux Partis Communistes au lendemain de la Seconde guerre mondiale, les journaux, et dans une moindre mesure la radio, ont joué un rôle politique considérable, qu’il s’agisse de l’Entre deux guerres ou de la période précédent la disparition de l’Empire Austro-Hongrois. Aussi, la période actuelle faite de pluralisme médiatique et politique, à l’opposé des quatre décennies de domination communiste, n’est-elle pas à proprement parler nouvelle ou inédite. Ce qui a changé, c’est le contexte historique de ce début de deuxième millénaire, marqué par une quête commune de ces pays pour plus de démocratie et par le dépassement de l’Etat-nation souverain à travers le processus engagé de leur entrée, à plus ou moins long terme, dans l’Union Européenne. Malgré cet objectif commun, la région n’en demeure pas moins traversée par des tensions nationalistes et des antagonismes politiques (tels que les troubles qu’a connus l’ex-Yougoslavie par exemple) qui ne laissent pas d’inquiéter. Or, il est clair que les mass media, et notamment les médias indépendants apparus ces dernières années, ont un rôle primordial à jouer non seulement dans l’approfondissement du degré de démocratisation atteint par les sociétés post-communistes mais aussi dans la création d’espaces publics de discussion pour et entre les communautés ethnolinguistiques nationales, ou encore dans le développement d’une information régionale conçue comme condition au dépassement des clivages nationalistes historiques et comme facteur d’intégration dans l’Union Européenne.

Professeur Jean Pierre Colin




 

Programme scientifique

L'objet du colloque est d'appréhender, dans une triple dimension, historique, politique et culturelle, l'apport des mass media dans la formation et dans la diffusion d'une culture démocratique citoyenne accrue, mais aussi le rôle qui peut et doit être le leur dans une intégration régionale supérieure, prélude à l'intégration au sein de l'Union Européenne.

  • Atelier n° 1: Dimensions historiques du rôle politique et citoyen des mass media en Europe Centrale et Orientale.

    1. Presse et espace public des Lumières à la montée des mouvements nationaux
    2. Les journaux au temps de l'Empire Austro-Hongrois
    3. Les journaux face à la montée des nouveaux nationalismes

  • Atelier n° 2: Le rôle des mass media dans la transition du communisme vers des régimes politiques d'essence libérale.

    1. Les médias internationaux ou l'offre d'une information alternative
    2. Médias et acteurs nationaux au cœur de la résistance passive puis active au communisme

  • Atelier n° 3: Quelle place pour les médias dans la démocratisation des sociétés post-communistes? L'apport possible des nouvelles technologies de l'information et de la communication.

    1. Médias, transparence de la vie publique et culture démocratique à l'aube du XXIè siècle
    2. Enjeux et perspectives liés à l'introduction des nouvelles technologies de l'information et de la communication

  • Atelier n° 4: La nécessité d'une meilleure circulation interne et transfrontalière de l'information en Europe Centrale et Orientale.

    1. La création et le développement d'espaces publics de discussion pour et entre les communautés ethnolinguistiques
    2. L'essor de l'information régionale comme condition au dépassement des antagonismes et clivages nationalistes historiques et comme facteur d'intégration dans l'Union Européenne.

 

Programme du colloque:

  • Mercredi 10 octobre (Hôtel "Dacia Continental", Oradea)

    16.00 - Accueil à partir
    20.00 - Réception à l'Hôtel

  • Jeudi 11 octobre (université d'Oradea)

    09.30 - 10.30 - Séance d'ouverture
    10.30 - 13.00 - Travaux en ateliers
    13.00 - 14.00 - Repas (Restaurant de l'Université)
    14.30 - 18.00 - Reprise des ateliers
    20.00 - cocktail (Hôtel "Dacia Continental", Oradea)

  • Vendredi 12 octobre (Université d'Oradea)

    09.00 - 13.00 - Travaux en ateliers
    13.00 - 14.00 - Repas (Restaurant de l'Université)
    14.00 - 16.30 - Reprise des ateliers
    16.30 - 19.30 - visite de la ville d'Oradea
  • 19.30 - Réception en l'honneur des participants, offerte par le Recteur de l'Université d'Oradea et la Mairie de la ville (Restaurant "Oradea"), et à l'occasion de la fête de la ville.

  • Samedi 13 octobre (Université d'Oradea)

    09.30 - 13.00 - Séance de clôture: rapports des quatre ateliers, suivis d'un débat sur "La nécessité d'une bonne transmission de l'information interne et externe en Europe Centrale et Orientale dans un contexte de révolution médiatique mondiale".
    13.00 - 14.00 - Repas (Restaurant de l'Université)
    14.30 - Excursion à la Grotte des Ours et Stana de Vale
    19.00 - Repas à la pension "Gaudeamus" de l'Université, Stana de Vale

  • Dimanche 14 octobre (Hôtel "Dacia Continental", Oradea)

    09.00 - petit dejeuner 
    13.00 - departure.

Programme touristique

Les organisateurs vous convient à visiter les monuments importants de la ville : le Musée du Pays Crisurilor, le Musée de l'Evêché orthodoxe, la cathédrale et le Musée de l'Evêché romano/catholique, l'Eglise avec la Lune, la cité d'Oradea, etc.

Oradea, un important carrefour entre Europe Centrale et Europe Occidentale

Oradea est une des plus grandes villes de l'ouest de la Roumanie, située a 600 km. de Bucarest, 500 km. de Vienne, 250 km. de Budapest, 300 km. de Belgrade, 550 km. de Cracovie, 800 km. de Venise.

Située sur les deux rives de la rivière Crisul Repede, ainsi qu'à quelques kilomètres de la frontière avec la Hongrie, la ville s'est développée comme centre culturel et économique, formant un trait d'union commercial entre l'Europe Orientale et l'Europe Occidentale. Tous les visiteurs qui viennent dans notre ville sont enchantés par la cité construite au début du XVIII-ème siècle, son Palais Baroque - un de plus imposant de cette région - et l'architecture unique de l'ancienne rue principale, connue sous l'appellation "le Corso". Les palais du XIX ème siècle présentent quelques uns des plus intéressants monuments de style viennois, qui font le charme d'Oradea.

La ville a aujourd'hui 240000 habitants et une économie diverse qui se trouve dans un processus continu de développement et, au cours des dernières années, Oradea s'est faite connaître tant en Roumanie qu'à l'étranger comme un grand centre universitaire.

Ville cosmopolite, Oradea connaît une tradition de convivialité ancienne et tranquille entre les roumains, les hongrois, les juifs, les allemands et les slovaques travaillant ensemble pour la prospérité générale.

Le colloque aura lieu a l'Université d'Oradea, proche du centre de la ville.


 

L E S  C O M I T E S


Présidents d'honneurs

Prof.Univ.Dr.ing. Teodor MAGHIAR
Recteur de l'Université d'Oradea

Prof.Univ.Dr. Jacques MEYER
Président de l'Université de Reims Champagne-Ardenne

Dr. Michael DUGGETT
Directeur General de l'Institut International des Sciences Administratives de Bruxelles



Président du Congres

Prof.Univ.Dr. Jean-Pierre COLIN
Université de Reims Champagne-Ardenne



Secrétariat général

Ioan Horga, Université d'Oradea
Renaud de la Brosse, Université de Reims Champagne-Ardenne




Comité scientifique:

  • Albert E. Barker (Grand Bretagne)
  • Francois Demers (Canada)
  • Lavinia Stan (Canada)
  • Luca Calvi (Italy)
  • Franz Gotz (Germany)
  • Jan Wendt (Poland)
  • Florica Chipea (Romania)
  • Serguei Tarkhov (Russia)
  • Ioan Dragan (Romania)
  • Gunilla Edelstram (Sweden) 
  • Jan Morovic (Slovacia)
  • George Pruteanu (Romania)
  • Lia Pop (Romania) 
  • Alexandru Ilies (Romania)

Comité exécutif:

  • Dragos Darabaneanu
  • Alina Brihan
  • Adriana Timpau
  • Mircea Brie
  • Anca Costrut
  • Domnica Saitos
  • Traian Caraiman
  • Razvan Matei
  • Ioana Josan
  • Bogdan Antoniu Marc
  • Ana-Maria Hodorog 
  • Lucian Ungur

Les parteneres du congres:

  • Antena 1
  • "Realitatea Bihoreana"
  • Radio France International
  • Les Cahiers du Journalisme
  • Radio Romania International
  • "Adevarul"
  • Radio “Transilvania”
  • cotidianul “Crisana”.

Les sponseurs du congres:

  • Ministerul Român al Informaþiilor Publice
  • Banca Comercialã Românã
  • Keysis Grafx
  • S.C. Turism Bãile Felix
  • FRIGOEXPRES S.A. Oradea
  • Radio “Transilvania”
  • S.C. CIAC S.A.
  • Hotel “Termal” Bãile Felix
  • Hotel “Continental - Dacia”
  • Banca “Ion Þiriac”
  • EUROPEAN DRINKS S.A.
  • Palladi Dacian - consultant în afaceri
  • S.C. NUMSERV Oradea
  • S.C. INTERLIFT Oradea
  • “Realitatea Bihoreanã”
  • Restaurantul “Oradea”
  • S.C. ROMANBAG Production Oradea
  • S.C. Vulturul Negru S.A.
  • S.C. IOVANTIN Construcþii S.R.L.
  • Direcþia Generalã pentru Agriculturã ºi Industrie Alimentarã Bihor
  • Cabinet de expertizã contabilã Andriuc Ana
  • S.C. CRIORTEX S.A
  • Editura ABADDABA IMP. S.R.L.
  • S.C. Paul Impex S.R.L.
  • S.C. PREMAGRO S.A.

 

Inscription au colloque

Les demandes d'inscription peuvent parvenir jusqu'au 1er septembre 2001 à l'adresse de Monsieur Ioan Horga, Professeur à l'Université d'Oradea, Centre International de Recherches Euro-régionales.

Nr. 5, Str. Armatei Romane, Oradea 3700, Bihor, ROMANIA
tel. +40 92 609747
fax: +40 59 425464/+40 59 432789
e-mail:
horga@rdsor.ro

Ou à Monsieur:
Prof. Renaud de la Brosse
Maître de conférences à l'Université de Reims Champagne-Ardenne
57 bis rue Pierre Taittinger, 51096 Reims
e-mail: Renaud.Delabrose@wanadoo.fr



Renseignements personnels:

Nom ........................................................................
Adresse ...................................................................
Spécialité ..............................................................
Adresse de l'Institution ...........................................
Téléphone ........................................
Fax ......................................................
E-mail ..............................................

Type de réservation*: single, double ou appartement
(les tarifs à l'Hôtel "Termal" équivalent pour les participants au colloque à 60% du tarif normal. Pour les participants les tarifs sont les suivant: 30 $ single/nuit; 40 $ double/nuit; 60 $ appartement/nuit. Le tarif comprend le petit déjeuner).

Date et l'heure d'arrivée .................................................
Lieu de l'arrivée ............................................................
Date de départ ..................................................
Lieu de départ** ................................................
Moyen de transport ......................................................
Observations et suggestions .............................................................................................



Renseignements sur votre communication:

Titre de la communication ............................................................................
Atelier choisi .......................................................................
Langue de la communication: anglais, francais, et/ou roumain (barrer les langues non utilisées)
Matériels nécessaires pour la présentation .............................................................................



ATTENTION!

Merci d'attacher à votre demande d'inscription un résumé de votre communication (maximum 250 mots). Pour la publication et pour faciliter la traduction, nous vous demandons de bien vouloir déposer au secrétariat du colloque, au moment de votre arrivée, votre communication tant sous la forme d'un texte imprimé que sur disquette en Word 6.

* Pour les participants qui arrivent à l'aéroport de Budapest, un transport en voiture à Oradea (250 km.) est prévu.
** Pour les participants qui arrivent en train ou en avion de Bucarest une voiture les attendra à l'aeroport ou à la gare d'Oradea.

 

Resumées

Dominique AUGEY (France), Maître de Conférences; Directrice du DESS Media et Communication Economique; Faculté d'Economie Appliquée; Université Aix Marseille III / 15-19, allée Claude Forbin; 13627 Aix-en-Provence Cedex 1; Tel: (33) 04 42 96 54 20; Fax: (33) 04 42 96 96 30; E-mail: dominique.augey@fea.u-3mrs.fr

NTIC, Médias et économies en transition

L'Analyse Economique des NTIC (nouvelles technologies de l'information et de la communication) constitue un sujet d'étude très actif chez les économistes. Ils s'y intéressent principalement sous deux angles : l'analyse macroéconomique (l'influence sur la croissance) et l'économie de l'entreprise (évolution des organisations, commerce électronique). Par ailleurs, deux branches relativement récentes de la science économique, l'Analyse des Choix Publics(2) (ou théorie du Public Choice/années 70) et l'Analyse Economique des Institutions(3) (années 80), s'intéressent à l'émergence des institutions et des règles dans une société. Le Public Choice analyse le "marché politique", c'est-à-dire le comportement des groupes de pression dans l'acceptation ou le refus du progrès économique et social. L'analyse des Institutions présente ces dernières comme le résultat d'un processus évolutionniste où l'information joue un rôle essentiel. Enfin, l'Economie du Développement(4) connaît un renouveau depuis le début des années 90. Au lendemain des indépendances, la plupart des modèles de développement prônaient un cocktail de grands travaux et de fermeture économique fondée sur une politique de substitution aux importations. L'échec de ces politiques, la crise de la dette des pays pauvres (plus de 1500 milliards de dollars) et la chute du mur ont induit une mise en cause radicale des modèles initiaux pour faire place à plus de liberté économique. Désormais l'accent est mis sur l'éducation, les investissements en capital humain, la mise en avant de la fonction d'entrepreneur. Ici encore, l'information et la connaissance jouent un rôle essentiel. L'analyse économique, par 4 prismes différents, montre que les NTIC et l'un de leurs vecteurs les plus importants, les nouveaux médias, ont un rôle essentiel dans l'émergence des pays en transition.

Albert E. BARKER (United Kingdom), The Revans Centre for Action Learning & Research, University of Salford; Visiting professor of Oradea University / 1A Keswick Court; Congleton, Cheshire, CW12 4JH; Tel.: (+44)(01260) 27.36.91; Fax: (+44) (01260) 27.08.08; E-mail: Albert.barker@LineOne.net

La moralité du média – Problème ou solution?

Tony Blair est élu premier ministre avec seulement 24% des vots de l’électorat et cela ne peut pas être consideré satisfaisant! Au même temps, l’Europe est présentée de manière distorsionnée, comme un grand danger, on doute la legitimité et l’autenticité de sa démocratie. Cette présentation est catégoriquement orientée vers une seule direction. Donc, le thème de ma thèse est la responsabilité morale du média et son éthique. Si le média ne se présente pas devant son public d’une manière correcte, équilibrée et impartiale, on ne pourra pas faire une élection libre et informée. C’est ainsi que le média devient part du problème au lieu de devenir sa solution. La présentation parlera de la moralité du média et de son obligation de dire la VERITE, d’offrir des FAITS, d’expliquer et de présenter les DEUX parties d’un problème et (s’il faut réelement qu’on s’implique en faveur d’une part ou d’une autre), de garder les commentaires partisans séparément de la présentation impartiale des faits.

Alexandra BARDAN (France / Roumanie), Doctorant en Sciences de l’Information et de la Communication, Université Paris III, Sorbonne Nouvelle / Domicile: Str. Tokio N° 7, Sector 1, Bucureºti; Tel. 00 40 94 / 64 10 15; E-mail: sandra_bar@yahoo.com

Les industries culturelles en Roumanie, 1970-1989.

Dans le contexte de relative détente et de réformes amorcées dans les régimes communistes de l’Europe de l’Est, la Roumanie présente les caractéristiques d’un néo-stalinisme. On parle de la Roumanie de Ceausescu, du développement spectaculaire d’un appareil de contrôle social et de l’évolution du régime communiste vers la dictature. Le flux officiel d’importation de produits culturels occidentaux a diminué pendant les années ‘70, étant presque supprimé au cours des années 1980, et dans le pays, la production de biens culturels obéit à une logique politique et non pas économique. Cependant, malgré l’apparente imperméabilité du régime communiste roumain on peut constater l’émergence d’un circuit non officiel de communication. Cela est à comprendre comme la mise en place des industries culturelles et d’un marché de biens culturels obéissant à la loi de la demande et de l’offre. Les industries culturelles qui se développent parallèlement au secteur étatisé auront plusieurs fonctions : constituer une alternative à la politique culturelle de l’Etat-Parti, faire emerger des espaces sociaux où s’échangent librement des opinions, favoriser l’apparition et le fonctionnement des mécanismes du marché.

Sergiu BÃLÞÃTESCU (România), Preparator Universitar, Catedra de Sociologie-Asistenþã Socialã, Universitatea din Oradea / Bd. Dacia nr. 60, Bl U1, ap. 1, Oradea; Tel. 00.40.59.43.28.30, int. 293; E-mail: bsergiu@socio.uoradea.ro

Le média, ‘le climat’ d’opinion et le bien-être subjectif dans la transition roumaine

Les recherches sur la relation entre l’exposition aux messages média et le bien-être subjectif se sont déroulées dans deux disciplines différentes: d’une part, dans la sociologie de la communication de masse, le média a été considéré comme médiateur entre l’accomplissement des besoins humains et de la satisfaction. Ayant comme départ la fonction d’évasion de la culture de masse, Edgar Morin (1962) affirmait que le but de cette dernière serait premièrement de créer le bonheur (illusoire) de l’individu. D’autre part les recherches dans le domaine de la qualité de la vie prennent en considération dans ce procès les variables psihologiques comme le matérialisme (Sirgy, Lee&al.,1998). Cette thèse se propose d’analyser d’une perspective sociologique la relation entre le média et le bien-être subjectif. Ayant comme base les modèles du climat d’opinion (Noelle-Neumann, 1987), et de l’état d’esprit public (Rahn, Kreoger & Kite, 1996), en essayant de mettre en évidence les différentes facettes de la relation entre le média et le bien-être subjectif, avec application dans le cas de la transition roumaine.

Gheorghe BICHICEAN (România), Conferenþiar Dr. Facultatea de Administraþie ºi Afaceri, Universitatea Româno-Germanã, Aleea Dumbrãvii 28-32, 2400 Sibiu; Tel / Fax: (00) 4069 23 35 68; E-mail: bichicean@yahoo.com

Le média dans le processus de la démocratisation: allocation du temps d’antenne, un problème de discrimination concernant le message electoral.

On peut soutenir, sans doute, que la démocratisation des sociétés ex-communistes a relevé une telle discrimination en ce qui concerne l’accès égal au temps d’antenne gratuit à la télévision. C’est la raison qu’impose le respect de tous les principes et des règles dans ce domaine, notamment la position des candidats (pour ou contre cette pratique). Une question que nous mettons en évidence concerne le problème suivant: comment peut-on assurer la neutralité du gouvernement dans une élection, y compris l’accès égal aux médias contrôlés par lui? Par exemple, un parti au pouvoir peut user de restriction sur le papier de journal pour limiter la circulation des journaux de l’opposition. Il peut de la même manière malhonnête employer son contrôle sur la télévision pour empêcher les partis d’opposition de présenter leurs messages à l’électorat ou du moins pour les limiter. D’autres aspects, auxquels nous avons essayé de fournir une réponse, concernent les interrogations suivantes: est-il équitable de fournir autant de temps aux partis les plus petits qu’aux plus grands? Est-il équitable de donner à des partis nouvellement créés une somme de temps particulièrement étendue sous prétexte qu’ils ont besoin de plus de temps pour faire connaître leurs programmes à l’électorat que les partis bien établis? Est-il équitable de fournir le plus de temps d’antenne aux partis qui ont obtenu la plus grande partie des voix lors des élections précédentes? Bref, l’idée d’équité et d’égalité des chances est très importante, parce qu’on a pu constater les résultats insatisfaisants de la politique de temps d’antenne lors des élections inaugurales dans plusieurs pays ex-communistes d’Europe Centrale et de l’Est.

Alina BRIHAN, Adriana ÞÎMPÃU, Bogdan Antoniu MARC (România), Universitatea din Oradea / Alina BRIHAN - Preparator universitar, Catedra de ªtiinte Politice / E-mail: alina_brihan@yahoo.com; Adriana ÞÎMPÃU - masterand / E-mail: adriana_timpau@yahoo.com; Bogdan Antoniu MARC - masterand / E-mail: bamarc@xnet.ro, marcabogdan@yahoo.com

De Helsinki à Nice ou de l'image de l'intégration de la Roumanie dans l'Union Européenne (l'analyse de la presse centrale).

Helsinki (1999) et Nice (2000) représentent deux moments clefs en ce qui concerne la réflexion de l'attitude de l'Europe occidentale vis-à-vis des Etats de l'ancien bloc communiste, engagés dans le processus d'intégration européenne. Ces événements ont surpris la Roumanie sous deux gouvernements: l'un de centre-droite (jusqu'au novembre 2000) et l'autre de centre-gauche (de novembre 2000 jusqu' aujourd'hui). L'objectif de notre étude consiste dans l'analyse de la manière dans laquelle la presse roumaine surprend le thème de l'intégration de la Roumanie dans l'Union Européenne. Les aspects que nous allons suivre visent aussi bien la "fréquence" réflechie dans le nombre, la nature et la place des articles, que leur "intensité" vis-à-vis des autorités roumaines et en même temps vis-à-vis des organisations ou institutions internationales, Etats, sociétés étrangères et roumaines. Un aspect subsidiaire est la détermination d'un lieu entre les deux processus intégrationistes dans lesquels la Roumanie est engagée - l'Union Européenne et NATO. Les méthodes utilisées sont l'analyse quantitative et qualitative. La monitorisation du thème est réalisée sur trois quotidiens: "Adevãrul", "Evenimentul Zilei", "România Liberã", choisis en fonction de leur tirage, et la période surprise est de décembre 1999 à mars 2001.

Luca CALVI (Italy), Assistant Professor for Ukrainian and Polish Language and Literature at the University of TRIESTE / Via A. Mura, 26 I-30016 Jesolo (VE); Tel. 00.39.0421.35.04.45; E-mail: lucalvi@libero.it

Les petites nations et l’internet: quelques réflections sur le cas de l’espace carpato-russe regardant l’internet.

Aujourd'hui dans une ère de la globalisation des villages, une des plus intéressantes études de cas pour l'entente de l'internet et de son impact sur la culture peut être celui nommé "les petites nations", ou "les nations sans Etat". Grâce à l'internet chaque lecteur obtient toutes sortes d'informations sur la conservation des langues en péril, sur les nationalités sous pressions ou sous l'ingratitude des autres, ou sur tout autre "statut de minorité". Dans notre court sondage nous nous efforcerons de concentrer notre attention sur le cas Carpato-Russe, la manière dont le réseau d'internet se présente et la manière dont il est présenté par d'autres groupes. Le but de la thèse sera, aussi, bien entendu, de montrer et de mettre en évidence l'usage ou l'abus de l'internet comme moyen par l'intermède duquel la culture devient moins élitiste et par lequel elle crée une nouvelle culture-digitale qui puisse influencer le développement de l'opinion publique dans une communauté sans frontières.

Florica CHIPEA (România), Profesor universitar, ªef de catedrã la Catedra de Sociologie ºi Asistenþã Socialã, Universitatea din Oradea / Str. Armatei Romane, Nr. 5; 3700 - Oradea; Tel. 00.40.59.43.28.30, int. 239; E-mail: fchipea@socio.uoradea.ro

L’influence du média sur l’image de la famille dans la société.

L’abord d’une telle thème a comme base le compe rendu realisé sur la base des dates statistiques, conformément auxquelles l’indicateur des noces a dans le département de Bihor des côtes plus élevées que dans la majorité des départements du pays. On est parti de l’hypothèse que, à part d’autres facteurs qui influencent cette situation, la communication de masse a elle-aussi un rôle spécial. L’objectif de base de cette étude est de surprendre si le média peut influencer les attitudes des jeunes envers le marriage et la famille. De même, nous essayons de trouver en quelle manière se réalise une telle induction attitudinale.

Adrian CORCODEL (România), Redactor Radio România Internaþional, Bucureºti; Ph.D. Candidate in Economics / Str. Fuiorului 6, bloc Y3A, ap. 15, Sector 3, 74604 Bucharest; Tel: 00401 / 303.1206; 004092 / 488.016; E-mail: sport@rri.ro

Le langage journalistique roumain: est-il accesible aux masses? Etude sur des revues économiques et des journaux (1999-2000).

Le manque de communication semble être un des problèmes clefs du développement économique et social de la Roumanie. Le journal est centré sur l'une des principales fonctions du media: informer les gens sur la politique et les intentions de l'administration publique. La langue usée par les éditeurs est plus innaccesible pour les gens communs - les lecteurs et les écouteurs qui ont une base pauvre dans le domaine de la politique ou des affaires globales et européennes, etc. Mais les articles sont des traductions pauvres des différents documents formels émis par des institutions internationales (FMI, La Banque Mondiale). De plus, l'emploi de nouvelles technologies apporte des bénéfices énormes pour les companies média, cependant elles n'améliorent pas le dialogue entre les gens et les hommes politique.

Dragoº DÃRÃBÃNEANU (România), Asistent universitar, Catedra de Sociologie ºi Asistenþã Socialã, Universitatea din Oradea / Str. Dimitrie Pompeiu, nr. 7, bl. PC 15, ap. 2, 3700-Oradea; Tel: 00.40.59.467105; E-mail: dragosd@socio.uoradea.ro; darabaneanu@yahoo.com

Le rôle de la communication de masse dans le développement de l’autorité civile en Roumanie.

L’objectif principal de ce matériel est de surprendre la participation du citoyen à la vie publique du point de vue de sa relation avec l’état. La relation citoyen – état représente un argument significatif dans la définition de l’idée de la liberté. En Roumanie d’après 1990, des mutations significatives se sont effectués en ce qui concerne le rapport entre l’individu et l’autorité d’état. Nous avons eu comme point de départ la prémisse que les moyens de communication de masse ont offert un modèle de rapport du citoyen aux structures d’état. Ainsi, le média représente une explication causale du spécifique attitudinal roumain dans la problématique suivie. Les sociétés contemporaines modernes exercent leur autorité sur les organisations d’état par l’intermède des deux moyens. Premièrement comme consumateur, étant la condition de base du fonctionnement des structures économiques. Deuxièmement l’autorité du citoyen s’exerce sur le plan politique aussi, son vote étant le principal moyen de légitimation du pouvoir politique. Cette étude se propose de décrire l’évolution et l’état de l’autorité civile en Roumanie, aussi que le lien qui existe entre la communication de masse et le statut civique du citoyen roumain. L’argumentation des idées présentées est réalisée ayant comme base les baromètres d’opinion publique réalisés en 1994, sur des échantillons avec une représentativité au niveau national, mais aussi sur les bases de dates obtenues dans d’autres recherches avec une thématique suggestive pour les objectifs que nous nous proposons.

François DEMERS (Canada), Professeur Département d'Information et de Communication, Faculté des Lettres, Université de LAVAL / Pavillon Casault, local 5413; Sainte-Foy, P.Q., Canada G1K 7P4; Tél: (418) 656-2131 - poste 2833; Télécopie: (418) 656 –7807

La démocratisation du journalisme ou le passage à la gestion d'un droit de parole généralisé. Le cas mexicain.

À partir du cas précis d'un quotidien de la ville de Guadalajara au Mexique, examiné de près pendant presque 10 ans (de sa naissance en 1991 jusqu'à la veille de l'élection du président Vincente Fox à l'été 2000), l'auteur retrace la mutation des contenus du journalisme mexicain d'une pratique adaptée à un régime autoritaire vers le journalisme d'information caractéristique des sociétés libérales. On y voit les normes et les contenus s'aligner, au rythme de la transition démocratique, sur les changements économiques et politiques de la société toute entière dans un contexte de libre-échange. Quatre grands traits émergent: 1) le contenu factuel s'harmonise avec le discours des médias étrangers, auquel d'ailleurs il fait volontiers écho, rompant ainsi avec le double discours caractéristique sur le long terme des sociétés fermées; 2) l'information journalistique se consacre de plus en plus à solliciter la parole et donner la parole à la société civile et à ses acteurs, plutôt qu'aux seules institutions et personnages en autorité, jusqu'au journalisme d'enquête; 3) une place croissante est faite aux individus (symboliquement représentatifs), à leurs aventures et émotions, déboires et démêlés avec l'administration publique en particulier et la vie en général; le reportage "humain" est valorisé; 4) la démocratisation de la place publique médiatique est opérée aussi par des efforts systématiques pour ouvrir largement les espaces de journalisme d'opinion au pluralisme des positions et pour assurer la présence dans le contenu lui-même des citoyens/consommateurs, notamment par la publication des sondages et des résultats d'une interaction électronique avec le public (courriels, forums de discussions, rencontres par internet de personnalités publiques, etc.). Or ce journalisme correspond au type de démocratie atteint dans les pays les plus développés.

Gunilla EDELSTAM (Sweden), Ass. Professor, University of Sodertorn, Huddinge, LL.D. Doctor of Public Law, Assistant professor, Public Law / box 4101; 14104 Huddinge; E-mail: gunilla.edelstam@sh.se

La démocratie et l'autorité des lois - un défi pour les pays baltes

L'exercitation des lois et la démocratie représentent deux problèmes centrales pour les états baltes, ayant en vue que ces états passent par une période de transition du communisme aux démocraties gouvernées par la lois. Ces transitions peuvent mener à l'integration dans l'Union Européenne. Toutefois, la démocratie est une chose compliquée et on besoin de temps pour qu'on s'y habitue. Les gens doivent la comprendre et s'y impliquer. Le fait que la lois gouverne est un autre problème compliqué qui doit être retenu par la législature, les cours et les corps administratifs. Je veux souligner certaines contradictions en ce qui concerne l'exercitation de la loi et de la démocratie qui pourraient causer des difficultés pour l'intégration européenne des ces pays.

Letiþia FILIMON (România), Lector la Departamentul de Perfecþionarea Cadrelor Didactice, Universitatea din Oradea / Str. Armatei Române, Nr. 5; 3700 - Oradea; Tel: 00.40.59.43.28.30, int. 148; E-mail: fililetitia@hotmail.com

Le modélage par le média des attitudes de la jeune génération de l’ouest du pays, l’interculturalité.

Ce travail se veut la synthèse de quelques études applicatives regardant la dimension évaluative de l’attitude de la jeune génération dans le contexte socio-économique de la Roumanie d’aujourd’hui. Le rôle du média est analysé en intéraction avec les autres facteurs formatifs. L’échantillon est formé d’élèves de lycée des classes terminales et d’étudiants de quelques localités de l’ouest du pays. Les épreuves utilisées visent l’impact du média dans le modélage des attitudes qui sont liées au rapport individu-communauté, au rapport valeurs locales - régionales - transnationales, ethnocentrisme -altercentrisme. La deuxième partie du travail présente un projet d’influence des attitudes civiques, démocratiques par des programmes média. Le projet avance l’idée d’une évaluation initiale et finale des attitudes par l’intermède des composantes de la conduite.

Franz GÖTZ (Germany), Director of University Institut of Ingolstadt - Oradea / Aloisweg 15, D-85049 Ingolstadt; E-mail: univ-oradea.deutschland@t-online.de

Références au rôle bien discuté du média en Allemagne, vues de la perspective d’une expérience médiatique de 25 années en qualité de parlamentaire.

Les considérations présentées ici ont comme base une question qui se pose une societé dévelopée, comme celle d’Allemagne, notamment: A quel point le média est–il puissant aujourd’hui? Une réponse adéquate vient d’une analyse pertinente de la psihologie des consummateurs de ce type des services et des relations qui s’etablissent entre les différentes formes de manifestations du média. Une attention spéciale est accordée à l’influence du média dans la vie politique et à l’apport de celui à la vie cotidienne du citoyen. Pendant que les politicians considèrent le média comme le quatrième pouvoir dans l’état, en agissant soit bien soit mal, la télévision et la presse écrite représentent par manque de style et sérieux un élément négatif dans la vie cotidienne de l’homme. Apparue de peu de temps, Pay-TV offre une structure de programme ou les sujets de rélévance sociale sont exclus. Un autre aspect atteint est la valabilité des principes plus anciennes du journalism et implicitement le destin des journaux dans l’époque du média électronique. Le nouveau principe “agit bien et parle-en” s’est avéré etre un problème inquiétante. Bien que la conclusion soit moins optimiste, la télévision et la radio officielles restent des marques décisives dans la démocratie de la société allemande.

Adrian HATOS (România), Lector drd., Catedra de Sociologie ºi Asistenþã Socialã, Universitatea din Oradea / Str. Armatei Romane, 5; 3700 - Oradea; Tel: 00.40.59.43.28.30, int. 239; E-mail: ahatos@socio.uoradea.ro

La consommation médiatique et la confiance interpersonnelle.

La dernière décennie a été marquée par une préoccupation spéciale pour l’investigation des normes et des structures qui font possible l’action collective, catégorie ou entre aussi l’implication civique, des dimensions réunies dans le concept de capital social. Un aspect important du capital social est la confiance, sans laquelle, beaucoup de rapports interpersonnels ou d’institutions et de personnes ne seraient possibles ou ils auraient des résultats sousoptimals. Une part des études sur ce thème ont visé l’impact média sur le capital social, en formulant deux hypothèses contraires. Les conséquences positives du média sur la sociabilibité sont remarquées par les théories qui affirment la capacité des moyens de communication de masse de construire des solidarités abstraites, de contribuer à la sédimentation des communautés imaginaires qui assurent la légitimation des états nationaux. Une direction de réflection beaucoup plus proéminante, est celle qui oppose l’esprit communautaire à la consommation médiatique. Soit en séparant les gens physiquement, soit par l’offerte d’une réalité illusoire ou en ‘cultivant’ l’image d’un monde périlleux, le média a un apport négatif sur la confiance interpersonnelle. Les évidences empiriques n’ont pas fourni des arguments catégoriques en faveur d’aucune des deux théories. Ayant comme base des dates représentatives au niveau national et régional, notre étude va investiguer la manière dont les indicateurs de la confiance interpersonnelle et ceux de la consommation médiatique entrent en covariance.

Ana-Maria HODOROG, Anca COSTRUÞ, Domnica-Aurelia ªAITOª, Lucian UNGUR (România), Studenþi master “Studii Euroregionale”, Universitatea din Oradea

De Helsinki à Nice: ou sur l’image de l’ Europe dans la presse de Roumanie (l’analyse de la presse locale).

Une analyse de la presse locale, comparée ultérieurement avec la presse centrale, est nécessaire pour pouvoir observer l’importance qui est accordée au procès de l’intégration de la Roumanie dans l’Union Européenne par la presse roumanie. La presse locale connait toutes sortes de pressions qui viennent des certaines tendences de régonalisation et globalisation. Elle essaie de rendre les événements d’importance locale, à coté de ceux de facture nationale ou internationale. Notre étude essaie d’évidencier aussi cette jointure, l’importance qui est acordée, particulairement à l’intégration de la Roumanie dans les structures éuropéennes, le role de la presse dans ce procès. Dans notre recherche on a pris en discussion trois cotidiens locaux, les plus rélévantes, on pense, notamment: “Jurnal Bihorean”, „Jurnal de Dimineaþã” ºi „Criºana”. La période du monitoring est celle pendant décembre 1999 et mars 2001. On essaie de surprendre ainsi la modalité de réflexion des principaux événements, faisant référence a l’adération de la Roumanie à l’Union Européenne, des événements passés pendant cette période. On a en vue une analyse détaillée, sur chaque cotidien, mais aussi une analyse comparée des tous trois cotidiens. En fonction du profil du journal, de ces dimensions, on va analyser et surprendre l’importance qui est acordée dans le cotidien respectif, à ce problème. La manière de présentation du thème, le type d’articles, le thème qui prédomine, le caractère et la nature de ces articles, le point de vue exprimé ou le lien avec les autres articles sont seulment quelque-uns des aspects qu’on se propose d’évidentier. Le nombre des articles qui font référence à l’intégration éuropéenne sera corroboré avec la période ou ceux-ci apparaissent et avec les principaux événements nationaux et internationaux de la période respective.

Ioan HORGA, Mircea BRIE (România), Universitatea din Oradea / Str. Armatei Române, Nr.5; 3700 - Oradea; Tel: 00.40.59.43.28.30 / Int.183; Fax: 00.40.59.42.54.64; E-mail: horga@rdsor.ro

De Helsinki à Nice: ou sur l’image de l’Europe dans la presse de Roumanie (esquisse d’un projet).

Un certain mystère de l’Europe s’etait créé dans la Roumanie post-communiste dû aussi à la presse. Cette image est rélevée dans le média, soit comme un mirage envers lequel les roumains courent, soit comme une tentation qu’une fois goûtée se transforme dans une nécessité vitale. Non dernièrement, la presse, de toute orientation, voit dans le chemin européen un inconnu, un dilemme, un seuil difficile à surpasser, plus ou moins désiré. Par le désir d’épater, d’avoir plus, d’aider ou par contre, par le désir d’autocompassion des semblables, la presse voit, d’une manière propre, les progrès ou les échecs enrégistrés par l’état roumain, l’efficacité de la diplomatie roumaine, mais aussi l’optimisme ou le pessimisme des autorités des différentes institutions européennes. Par l’intermède de cette communication on se propose d’évidentier les principaux moments encadrés dans les summit de Helsinki et Nisa, et rélevés dans la presse roumaine. A cotés des deux autres thèses (une fait référence à la presse locale, l’autre à la presse centrale). On essaie de surprendre la modalité de réflexion dans la presse du procés d’intégration de la Roumanie dans les structures éuropéenes. L’influence acordée au thème, la manière de présentation, la corrélation avec les autres articles dan la presse, les solutions et l’objectivité de la presse sont aussi à notre attention. Dans le procès de monitoring de la presse on a en vue trois cotidiens locaux (“Jurnal Bihorean“, “Jurnal de Dimineaþã“ ºi “Criºana“) et trois journaux centraux (“Adevãrul“, “România Liberã“ ºi “Evenimentul Zilei“), en suivant leur attention et position envers les différents événements liés aux relations de la Roumanie avec l’Union Européene. Le montoring de ceux-ci s’est fait pendant la période décembre 1999-mars 2001. On essaie ainsi de surprendre le contexte et les effes des deux moments: Helsinki et Nice.

Alexandru ILIEª (România), University of Oradea, Department of Geography / 5 Armata Românã Str., 3700, Oradea; Tel: 00 40 59 43 28 30 int. 358; E-mail: ilies@hs.uoradea.ro; Ioana JOSAN (România), University of Oradea, Department of Geography / 5 Armata Românã Str., 3700, Oradea; E-mail: josanioana@yahoo.co.uk

L’image du tourisme roumain dans le média. Le cas du département de Bihor.

Le média se trouve dans la situation d’interpréter des aspects de la vie sociale-économique, de l’évolution des phénomènes et des personnages, en soulignant les éléments relevants. Dans ce contexte, le but principal de cette étude est l’analyse de la relation média – tourisme, en soulignant le rôle du média dans la promotion du tourisme dans le département de Bihor. L’analyse intentionne aussi de mettre en évidence la mesure dans laquelle les fonctions d’information et de corrélation contribuent à la promotion du tourisme, du potentiel touristique régional. Nous avons aussi réalisé une analyse des effets de cette promotion. On a obtenu les informations par le monotoring des journaux locaux et régionaux: “Criºana”, “Jurnal Bihorean”, “Jurnal de Dimineaþã”, “Realitatea Bihoreanã” et “Bihoreanul”, et des journaux centraux: “Adevãrul”, “Ziua” et “National”. Une courte partie sera dédiée aux opérateurs locaux de télévision: TVS, PRO TV et ANTENA 1.

Carmen IONESCU (France/Roumanie), Doctorant - Sciences de l’Information et de la Communication, Université Paris III (Sorbonne); Rédactrice à la Société Roumaine de Radiodiffusion / Piaþa Mihail Kogãlniceanu nr. 8, sc. A, ap. 32, Sector 5, Bucureºti; Tél: 00 40 92 255 265; E-mail: carmenio@hotmail.com

Rador, facteur de démocratisation de la société roumaine post-communiste.

Les mutations politiques d’après la révolution de décembre 1989 ont déterminé des changements fondamentaux dans le paysage médiatique roumain. En février 1990, est crée dans la Société roumaine de Radiodiffusion le Centre d’Information et de Synthèse, l’ancêtre de l’agence Rador, née en novembre 1993. C’est la seule agence publique de monitoring. En dépit de son impact réduit sur le grand public, Rador est un acteur véritable du champ communicationnel du pays. Par le spécifique de son activité, Rador a contribué au développement de la culture démocratique roumaine. En guise d’exemple: elle a présenté plusieurs points de vue, même les plus défavorables, à l’adresse des responsables du pays au moment donné. De plus, Rador contribue au dialogue démocratique entre les facteurs de décision (par exemple dans les campagnes électorales), un dialogue basé sur l’échange d’idées. Rador représente, aussi, un promoteur du dialogue interethnique en Roumanie, son activité de monitoring incluant les plus importantes chaînes et antennes des pays voisins, par exemple de l' Hongrie et de l'Ukraine. Rador se proposait de devenir une agence régionale, un facteur important pour le dépassement des nationalismes extrêmes et d’unité dans une Union Européenne élargie.

Renaud de LA BROSSE (France), Maître de conférences, Université de Reims Champagne-Ardenne / 57 bis rue Pierre Taittinger, 51096 Reims; E-mail: renaud.delabrosse@univ-reims.fr

La résistance des médias aux nationalismes et leur apport à la démocratisation: le cas de la région des Balkans.

L’Europe Centrale et Orientale post soviétique a connu des voies d’accession différentes vers des régimes politiques démocratiques d’essence occidentale. La région des Balkans a sans doute été celle pour laquelle la transition démocratique, freinée par des nationalismes exacerbés, a été et reste la plus difficile. Quelques médias, allant à contre-courant des discours nationalistes dominants, bien souvent haineux, ont pu jouer un rôle symbolique important dans le réveil de la société civile, dans la résistance à l’oppression politique et à sa propagande ou dans la propagation des valeurs inhérentes à la démocratie (promotion du dialogue et de la pacification des différends notamment). Ce travail de fond, qui participe d’une éducation à la démocratie, a été combattu par les pouvoirs nationalistes – ceux-ci n’hésitant pas à employer la censure, les assassinats, les arrestations, la fermeture des médias trop critiques, etc. L’analyse des rapports entre médias indépendants et régimes autoritaires au cours des années 1990 permettra de mesurer leur rôle dans la transition démocratiques en même temps que les limites objectives de leurs actions.

Daniela MAGHERU (România), Redactor TV Antena 1 / Str. Transilvaniei, Nr. 11; Tel: 00.40.93.19.77.79; Fax: 00.40.59.41.88.69

L’impact de la télévision locale dans la formation de la conscience civique.

A première vue il nous semble que le mass media de l’ Europe de l’Est a été chassé par la destruction du barrage communiste construit pour la contrainte des libertés. Deux groupes principaux du mass media se sont formés avec la disparition de ce barrage, partout dans l’Europe de l’Est: l’un en “opposition” et un autre à l’appui des nouveaux gouvernements. La perception que les autres institutions sociales ne puissent pas résoudre les problèmes créés par la transition a beaucoup frappé le rôle de la presse. Les milieux informatifs de l’Europe de l’Est sont devenus des moyens de luttes politiques entre les partis politiques et les hommes politiques, eux-mêmes essayant de clarifier leurs buts et de gagner le pouvoir, par rapport au rôle du mass media des pays démocratiques-celui d’offrir des informations et des explications sur des événements, sujets et gens, nécessaires à un débat publique sur les sujets quotidiens. Cette mentalité a été articulée plus clairement au cas de la Roumanie que des autres pays de la région, mais elle est, à des petites variations, valable pour eux aussi. Il est donc nécessaire que les postes de télévision locales réussissent à s’éloigner du “centre” d’où ces influences politiques viennent le plus souvent. Une fois l’indépendance financière et logistique obtenue, les postes locals de télévision peuvent se concentrer sur la production de media et sur la pratique des trois fonctions principaux: la surveillance du contexte événementiel immédiat et futur, la corrélation des éléments d’une société avec la société comme tout, et la transmission de l’héritage culturel à la société. Ces trois fonctions deviennent très importantes pendant les mouvements socio-politiques,surtout dans les cas extrêmes, par lesquels la région en discution est passée, en commençant par 1989-90. De plus, la fonction de contribuer par l’information et par l’image au cas des télévisions, et de par leur nature à la réconstruction de la société, à la réorganisation de la culture politique, à la rééducation et à la résocialisation de l’esprit civique, doit être mentionnée à tout prix.

Stjepan MALOVIÆ (Croaþia), Ph. D. Assistant Professor, Faculty of Political Science, Zagreb University / Lepušiæeva 6, 10000 Zagreb; Tel: 385 1 46 55 294; Fax: 385 1 46 55 316; E-mail: stjepan.malovic@zg.hinet.hr

Le rôle du média dans la démocratisation des états post communistes, basé sur les expériences du Croatie.

Le communisme n’a pas été un système caractérisé par une liberté média. Meme les états avec un communisme plus gentil, comme l’ancienne Yougoslavie, aujourd’hui la Croatie, d’ou je viens, le Grand Parti controlait le média et tout changement de la politique du Parti était interdit. Les dernières journées du communisme au début des années ’90 ont été la période d’un libéralisation immediate, des nouveaux horizons s’ouvraient, et le journalistes ont commencé à pratiquer un vrai journalisme, ouvert et libre. Ces jours de bonheur n’ont pas duré beaucoup: les nouveaux gouvernements démocratiques ont continué la meme pratique regardant le média. La cruelle guerre a été elle-aussi une des raison pour laquelle la démocratisation média en Croatie s’est fait aussi lentement. Les 10 années sous Tudman ont mené à l’apparition des journalsites et d’un média qui pouvaient servir le parti en charge et son politique nationaliste, mais aussi des journalistes et d’un média qui s’opposaient à une telle politique. Pas d’intermédiaire. Il n’existait pas un journalisme impartiel, honeste et équilibré. Quand la coalition démocrate a gagné les élections de 1999 une nouvelle ère s’ouvrait. Encore une fois des espérances naissaient. Aujourd’hui, après presque 2 année de la victoire des élections, le média se trouve dans une position difficile, les journalistes sont sous pression, il y a toute sorte des manipulations, et le public est confus parce-qu’il ne reçoit pas d’informations exactes. Il y a presque une situation similaire dans la majorité des états post communistes. Le média est manipulé et il n’y a pas de transition d’une télévision d’état à l’une publique, les nouveaux chefs essaient de s’enrichir, en ignorant la liberté du média, il n’y a pas de société civile, ou de journalisme sérieux. L’investition internationale dans le journalisme est basée en spécial, sur une politique de profit et n’aide pas au développement d’un média local. Pourquoi cela? Vraiment, on ne peut pas développer un média libre, un journalisme impartiel et équilibré basé sur des faits et qui ne sert de différents centres du pouvoir. Pourqoui les journalistes ne sont-ils pas capables de pratiquer un journalisme responsable? Les réponses sont difficiles et elles se trouve dans l’héritage communiste et dans la transition très lente. Les centres politiques et pas seulement eux, connaissent à quel point le média est important et influent. Les partis politiques luttent pour le pouvoir, en essayant à mentenir la position et à obtenir le plus de bénéfices. Le média autonome, indépendent et qui s’inquiète ne trouve pas son place ici. Il apporte des ennuis qui puissent mettre un péril les nouveaux grands chefs. Le rôle de la télévision est surtout important, parce-que elle est le plus fort et influent média. La télévision d’état croate n’a pas été transformée dans une télévision publique qu’après 2 années. Et celle a été une des promesses durant les élections électorales. La transition de la télévision serbe se fait elle-aussi très lentement. La meme situation se rencontre dans les autres pays. La réseau national de télévision a un intéret vital pour le politiciens, et ils savent à quel point il est important d’en avoir le contrôle. Une possible sortie est l’éducation. Celle-ci est un procès à long terme, les résultats viennet après quelques années, meme décennies, mais il n’y a pas d’autre moyen. Dans les états post communistes personne n’a une réelle expérience envers la démocratie. Personne n’a vécu dans une démocratie, n’a appris comment implémenter des valeurs démocratiques, n’a appris quels sont les droits de l’homme ou pourquoi le média devrait critiquer…Sans une éducation vers la démocratie, il serait difficile de développer des valeurs démocratiques et une liberté du média. Pour cela on a besoin de temps, d’énergie, d’investitions, mais cela donne de mieux résultats que d’investir des millions d’euro dans des média libres qui s’écroulent vite.

Valentina MARINESCU (România), Sociolog la Institutul de Sociologie al Academiei Române / Casa Academiei, Calea 13 Septembrie, Nr.13, Sector 5, Bucureºti; Tél: 411.85.32; Fax: 411.85.32; E-mail: marinesc@ns.isar.acad.ro

Evolutions différencieés de l’audience de la presse écrite roumaine en 2001.

Une des plus spectaculaires évolution post-décembriste enregistrée en Roumanie est celle du domaine du média, où on peut parler du contour d'une vrai 'industrie culturale' et implicitement, du contour des comportements sociaux adéquates à des produits peu connus avant 1989: les messages média. Cet article est interessé dans la délimitation des "profils différentiels" de différents groupes du public roumain. La principale demande à laquelle on cherche une réponse par la présente thèse est: "A quel point le public d'un seul titre de presse est-il differencié internement et quelles sont les principales axes au long desquelles ces variations se réalisent?" Méthodologie: 1. L'univers d'échantillon: population adulte du millieu urbain en Roumanie; 2. Echantillion stratifié multistadial: la région historique (Moldova, Muntenia, Dobrogea, Oltenia, le sud-est de Transilvania, le sud du Banat, Bucuresti), type de ville (..). La stratification proportionnelle en fonction du numéro d'habitants en chaque catégorie; 3. Des interviews: se basant sur un questionnaire standardisé - realisés au domicile des sujets. Les profils de l'audience seront differenciés au long des dimensions suivantes: 1. Les caractéristiques socio-démographiques; 2. Le profil en fonction du type ''life-style"; 3. Le profil en fonction du comportement de consum média, en général la presse écrite, internet, radio et télévision; 4. Le profil en fonction de la lecture des journaux; 5. Des motivations et des gratifications asociées à la lecture du journal - cas dans lequel l'analyse a en vue la délimitation du poids de la lecture en fonction des types suivants des motifs asociés à l'utilisation du média: - motif d'information; motif de prestige social; apropriation idéologique; 6. Le rapport à la politique éditoriale du journal - ou l'analyse est intéressée au rapport des lecteurs aux éléments suivants du 'contenu' du journal: - l'opinion sur le concept redactionnel -aspect graphique, photos, le format/mesure du journal; la crédibilité: indépendence politique, objectivité et sérieux; le profesionnalisme/compétence du corps redactionnel: contenu des articles, quantité et qualité des informations.

Cristina MATIUÞÃ (România), Lector Drd., Catedra de ªtiinte Politice, Universitatea din Oradea / Str. Gen. Magheru, Nr. 21; Tel: 00.40.59.47.99.80

Le libéralisme dans le média roumain après 1989.

La présentation se propose d’analyser le rôle que les débats sur le libéralisme occupent dans le média roumain après 1989. Les révolutions de 1989 de l’est de l’Europe ont été interprétées comme des victoires du libéralisme (de la société ouverte) sur le socialisme (la société fermée), le libéralisme en devenant une doctrine et une pratique politique que beaucoup la revendiquaient. Dans quelle mesure les publications de spécialité ont contribué à l’éclaircissement de ce concept, de la doctrine libérale caractérisée par une grande diversité interne et dans quelle mesure les explications des spécialistes ont été assimilées dans la pratique politique. L’étiquette de libéral a été adjugée par plusieurs partis politiques dans la Roumanie d’après 1989, mais dans quelle mesure sont-ils libéraux, est-elle légitime, cette auto-dénomination? Pas mal de fois les différences et les discontinuités entre les grands théoriciens du libéralisme sont plus importantes que les éléments qui les approchent. Est-ce que la presse roumaine s’est-elle occupée de l’inventaire de ce type de publications? – sont des questions auxquelles ma présentation essayera de trouver des réponses.

Aurel PAPARI (România), Rector Universitatea “Andrei ªaguna”, CONSTANÞA / Adresã: Str. 1907, Nr 25, Constanþa, cod. 8700; Tel: 041 / 662520, 041 / 510500; Fax: 041 / 662520; E-mail: papari@tomrad.ro

Le développement des relations des macedo-roumains vivant dans les Balkans dans le contexte de l’intégration européenne.

Les aroumains vivent dans la Péninsule Balkanique depuis 2000 ans, mais ils ne se sont pas constitués comme état indépendant et ont été souvent minoritaires dans les états ou ils se trouvent. Malgré une certaine tendance d’intégration qui a été presque complète, dans le Nord-vest du Balkans, cet peuple a réussi à maintenir son homogénéité linguistique et culturelle. Cependant le peuple ne forme pas une communauté dans le sens de groupe organisé et seulement grâce aux transformations politiques depuis les dernières années de presque toutes les pays de la zone, beaucoup d’associations locales, régionales et nationales se sont formées et des contacts internationals se sont développés. Il est impossible de savoir avec précision comment les aroumains vivent aujourd’hui dans les pays balkaniques. Dans certains pays on ne fait pas le compte rendu de ses aroumains et dans d’autres les chiffres sont contestées. On peut les trouver en Roumanie, Albanie, Grèce, Macédoine, Bulgarie et leur situation en chaquan de ces pays est différente. Il faut souligner que les aroumains sont citoyens Albanais, Grecs, Macédoniens ou Roumains. En vue de toutes ces considérations qui se lient avec l’histoire des aroumains et avec la situation actuelle dans les Balkans dans le contexte d’intégration européenne on pense que le développement des relations parmi les communautés aroumaines est possible avec de grandes bénéfices aussi pour leur états en appliquant une politique régionale. Cette politique est destinée à un périmètre formé par des relations sociales dans un peuple pendant une longue période de temps, par l’histoire commune et par l’expérience de vie en commun de la région et elle peut être réalisée par la création d’un espace d’intégration régionale qui se trouve au carrefour de l’espace politique, l’espace culturel et économique. Cette coopération qui dépasse les frontières représente l’étape nécessaire dans le procès d’intégration européenne. La Fondation Andrei Saguna, ayant comme but final la conservation et le développement du patrimoine culturel aroumain, a construit ses démarches de telle manière qu’ils se trouvent à l’incidence de tous les trois espaces: elle organise depuis huit ans un festival international de folklore aroumain, en corrélation avec un symposium scientifique (espace culturel), elle réalise un permanent échange de délégations où se sont impliqué des officiels, en mettant les fondements de l’association des villes de la Macédonie, L’Albanie, la Grèce avec des villes similaires de Dobrogea (espace politique), le développement de relations commerciales (espace économique). Dans toutes ses activités la Fondation Andrei ªaguna a bénéficié de l’appui du Gouvernement de la Roumanie, du Ministère des Affaires étrangères et du Ministère de la Culture, soulignant tous les trois espaces. En vue de la nécessité du développement d’un espace destiné aux débats politiques, la Fondation fondera un institut d’études aroumaines qui centralisera les études avec ce profil dans tout le monde, en créant ainsi un centre informationnel puissant sur la problématique aroumaine.

Victor PAPP, Simona DRIMBÃU, Robert LUKACS, Mircea STROE (România), Studenþi în ªtiinþe Politice, Universitatea din Oradea / Str. Gen. Magheru, Nr. 21; Tel: 00.40.59.47.99.80

Le média parallèle.

Dans une société communicationnelle le média joue un rôle important dans la socialisation de l'individu. Cette interface entre la société et l'individu, le média est devenu une necessité pour l'homme moderne. La participation directe est remplacée de plus en plus par une participation médiée: les gens découvrent ce qui se passe autour d'eux et dans leur communauté par l'intermède du média. C'est pour cela que dès nos jours le média occupe une place importante dans le cadre des relations inter-ethniques. Cette thèse a l'intention de présenter la modalité dont la vie de la communauté hongroise se reflète dans le média roumain et aussi, la modalité dont le média hongrois, strictement du département de Bihor, reflète la vie de la communauté roumaine. Principalement on va se concentrer sur le signal social émis par le média local. Notre hypothèse est qu'il existe un parallélisme entre les deux modalités de présenter la vie de deux communautés par les deux catégories de média. D’où le titre de notre présentation. L'investigation empirique aura en vue les principales institutions médiatiques locales, radio, TV et presse écrite d'août jusqu'à octobre 2001. La présentation de ce parallélisme à travers le récit objectif des vies de deux communautés a un effet direct sur la sudure et l'amélioration des relations des deux.

Marian PETCU (România), Dr. Facultatea de ªtiinþele Comunicãrii, Academia Naþionalã de Informaþii / Soseaua Odai, Nr. 20, Sector 1, Bucureºti; Tel: 00.40.1.410.65.50, int. 1178; 00.40.1.781.39.85; Fax: 00.40. 1. 310.47.50

Le commencement de la publicité en Roumanie. Court historique.

D’habitude les chercheurs de l'histoire de la presse ignorent "l'ingrédient" qui explique, dans une grande mesure, le succès global ou local du média, dans une époque ou autre: la publicité. Cette thèse désire emplir un espace vide en ce qui concerne l'informatisation professionnelle sur l'apparition de la publicité comme profession et son rôle dans l'évolution du média en Roumanie. On suit d'une manière chronologique les plus importants moments publicitaires, dès 1875 et jusqu'à nos jours.

Marian PETCU (România)

La récomposition de la territorialité du média en Roumanie.

L'explosion d'information de l’année 1989 est un sujet trop vaste pour une recherche scientifique. C'est pourquoi on doit créer un cadre à ce phénomène pas encore rencontré dans l'histoire du peuple roumain. On suit l'évolution de la presse écrite (numéro des articles, le lieu d'apparition, des types, etc), spécialement le rapport central-local, l'évolution de la radio et du TV, la concentration média dans notre pays, l'apparition des réseaux média et beaucoup d'autres choses.

Lia POP, Cristina MATIUÞÃ, Ioana ALBU (România); Lia Pop – profesor de Politologie, ªefa Catedrei de ªtiinþe Politice; Ioana Albu – Drd. ªtiinþe Politice, Universitatea Oradea / Str. Gen. Magheru, Nr. 21; Tel: 00.40.59.47.99.80

L'intégration européenne dans le média roumain.

Notre présentation a l'intention d'analyser la modalité (et la mesure) dont la presse roumaine discute les problèmes liés au futur et au procès d'élargissement de l'Union Européenne, les conditions et les coûts demandés par le procès d'intégration de la Roumanie. On veut rechercher l'importance donnée par la presse roumaine à ces problèmes, en étudiant quelques-uns des journaux nationaux et locaux les plus connus. On s'intéresse combien de l'information concernant l'intégration arrive au citoyen, qui sont les lecteurs de presse et combien d'entre eux lisent des articles sur l'intégration européenne. On a aussi fait un sondage parmi les employés des journaux locaux, en essayant d'observer comment ils comprennent le principe subsidiaire. Notre procès de monitoring commence en décembre 2000, car on considère que le summit de Nice marque un moment important pour les pays candidats, l'Union en prenant la décision de négocier avec tous les pays, n'importe quel soit leur statut. La signification de ce signal est que pour une construction européenne de durée on a besoin de l'entraînement de tous les pays, incluant les pays candidats, et que le procès d'intégration européenne dépend exclusivement des efforts nationaux et de la preuve non seulement du désir, mais aussi de la capacité d'intégration. Qu'elles sont les conditions d'intégration? Est-elle, l'intégration, importante pour la Roumanie? Présent-elle aussi des désavantages? Comment se présente la future Europe (fédération, confédération, une Europe des nations, des régions)? L'état, devrait-il renoncer à beaucoup de ses compétences? Celles-ci sont des questions et des provocations auxquelles on doit trouver une réponse. Et le média doit nous aider.

Elena POSTICA (Moldova), Muzeul de Istorie Naþionalã al Republicii Moldova / 22 Alecu Russo, Ap. 106, Chiºinãu MD 2044; Tel / Fax: + (373 2) 344055; E-mail: iupostica@yahoo.com

La guerre informationelle contre la République de Moldavie. Le cas de Transnistria.

La république de Moldavie a été probablement le seul cas dans l'Europe contemporaine quand le movement de la libération nationale a été causé par le problème de l'identité linquistique. La lutte des roumains de Moldavie pour leur liberté, leur désir normal pour la renaissance de la langue, de la culture et de leurs traditions nationales a été accueilli avec hostilité par les forces réactionnaires et proimperiales. Sous le prétexte "pour la défence des droits de la population russe de Moldavie", le centre imperial a stimulé le séparatisme transnistrien, en créant ainsi dans l'est des districts de Moldavie la sous-nommé "République de Moldavie Transnistrienne". Les confrontations linguistiques entre la République de Moldavie ont evolué dans un conflict de nature politique, qui, l'été de 1992 a fini dans une guerre fratricide. Le conflict armé de Nistru a été doublé par une vraie guerre de (des)informatisation, lancée par les séparatistes transnistriens et par les forces proimperiales de Moscou. Engagé fortement de manière politique, le média a convaincu l'opinion publique de Russie que la Transnistrie est l'"ancienne terre russe" qui est devenue la victime de l'agression de la part des "pro nationalistes roumains" de la République de Moldavie. La voix des quelques journalistes de bonne intention de Russie et d'Ucraine, qui ont essayé d'écrire la vérité sur les événements de Moldavie n'a pourtant eu aucun écho dans la multitude des nouvelles unilaterales des pro séparatistes. La victime de cette guerre de désinformation a été premièrement l'opinion publique de Russie et de Transnistrie. Elle ne s’est pas rendue compte qu'elle a été attirée dans "la sainte guerre" pour défendre les "frontières du sud de la Russie". Les conséquences de la guerre sont encore ressenties aujourd'hui. Il est nécessaire qu'on rétablit l'espace informationnel normal, pour dépasser les suspicions, la faute et la haine mutuale entre les deux côtes de la rivière Dnister. Le média, volontièrement ou non, a instigué le conflict et c'est lui qui doit faire le premier pas pour établir la paix et l'entente sur la terre de la Moldavie.

George PRUTEANU (România), Profesor de ªtiinþele Comunicãrii, Universitatea Andrei ªaguna / Str. 1907, Nr. 25, 8700 - Constanþa; Tel: 041 / 662520, 041 / 510500; Fax: 041 / 662520; E-mail: univsaguna@tomrad.ro

Nationalisme et langage.

Notre présentation se propose d’offrir dès le début une définition sévère du terme principal utilisé dans les débats autour du ‘nationalisme’. La conception que nous considérons comme fondament de notre présentation est qu’il n’existe rien de péjoratif/mal/coupable dans le concept de ‘nationalisme’. Comme dans le cas d’autres concepts essentiels des doctrines politiques (libéralisme, socialisme), à travers des ‘charges’ inadéquates on peut provoquer le glissement vers le negatif. Tout comme le libéralisme (moteur de la société capitaliste) peut devenir ‘libéralisme sauvage’, comme le socialisme (dominant dans les plupart des pays civilisés de l’Europe) peut devenir national-socialisme (nazisme) ou ‘socialisme multilaterallement developpé’, national-communisme (ceausisme) - le nationalisme, lui aussi, dans des mains malveillants peut prendre des aspects grotesques ou exagérés. Dans une thèse récente (Doctrines politiques - concepts universels et réalités roumaines, 1998), rédigée sous le patronat des institutions et des personalités qu’on peut pas soupconer de populisme ou nationalisme (La Fondation SOROS, Fondation pour le développement de la société civile), Alina Mugiu Pippidi affirme sans équivoque: ‘un élément qu’on peut éliminer du début est l’essai de définir le nationalisme de manière que ceci soit un phénomène ‘positif’ ou ‘négatif’, le débat sur le nationalisme ‘bon’ ou ‘mal’ doit être réduit à un débat plus simple sur le nationalisme ‘adéquat’ ou ‘inadéquat (…) Le nationalisme n’est ni bon, ni mal, comme tous les phénomènes inévitables (…) le nationalisme démocrate, en tout cas n’est pas de facture totalitaire ou chauvin’.(p. 112, 113, 117). Et pourtant, une tendance manifestée et avec récurrence est celle de ‘démonisation’ du nationalisme. Le subterfuge auquel on recourt est l’identification avec les manifestations marginalo-extremistes ou xénophobo-chauvines. I.2. Dans notre vision, le nationalisme sérieusement conçu n’est pas, hic et nunc, seulement honorable, mais aussi nécessaire. Dans un monde qui supporte, avec des convulsions plus ou mois fortes, les conséquences non toujours désirables de la globalisation, le nationalisme apporte le nécessaire contrepoint. Le nationalisme est le facteur d’équilibre dialectique de la globalisation. Tout comme dans une société démocratique, le pouvoir ne peut pas être conçu sans opposition, simétriquement, dans le monde, la thèse de la globalisation a besoin de l’antithèse nationaliste. Face à la vague portante d’homogénisation, le nationalisme ne fait que proclamer le droit fondamental à la différence spécifique. Plus les frontières seront spiritualisées, plus les nations sentiront le besoin de se définir d’une manière plus prononcée. II. Dans la part médiane de notre présentation, on va s’occuper de quelques facettes du phénomène que, pour ainsi dire, on va nommer: la phraséologie du nationalisme débauche. Il s’agit de la ‘lyricisation’ ou de la ‘pathétisation’ frauduleuse ou, en tout cas, douteuse des termes comme pays, peuple, patrie (que certains, pour parraître plus ‘vibrants’, écrivent avec des majuscules et grasses: Pays). C’est une manifestation exagerée, une manière de crier ses sentiments, c’est comme si on pendait du balcon de notre appartement des bannères sur lesquelles on écrirait qu’on aime notre mère. De même facture, mais de la côte opposante, se trouve la terminologie vulgaire-aggressive en ce qui concerne les étrangers : ‘jidan’ (Juif), ‘bozgor’(Hongrois), ‘cioroi’ (Gitan) etc. Entre l’accueil naif et snobe de tout ce qui est étranger (par example, les nouvelles ‘fêtes’ de type Valentine’s Day) et l’hostilité grossière en ce qui concerne ce que n’est pas autohtone, le nationalisme sage cultive ce que est viable et fertile dans le fond national et étale envers l’étranger une méfiance élégante et diplomatique, une prudence pleine de respect. III. Dans la troisième partie de notre présentation on étale les efforts qu’on a mis dans la promotion d’une ‘loi de protection juridique de la langue roumaine’, dans le sens d’une obligation de traduir en roumain n’importe quelle écriture d’intérêt public (formulaires, annonces publicitaires, affiches, prospects, instructions techniques). La justification se trouve justement dans l’énumerations des raisons du projet législatif. En tenant compte de la prolifération remarquable, après décembre 1989, dans des lieux publiques et dans le média des inscriptions et des énoncés (affiches, des enseignes de commerce, noms de magazins, locaux ou des produits commerciaux, des annonces publicitaires, des messages télephoniques etc) dans des langues étrangères, en tenant compte que la majorité de la population ne connaît pas les langues étrangères respectives, fait qui provoque chez certaines personnes un état de discomfort intellectuel et d’irritation, en arrivant jusqu’au sentiment de se sentir étranger dans son propre pays, en tenant compte du devoir sacré de respecter et cultiver cet élément nucléaire de notre être spirituel, qui est la langue roumaine, on initie le présent projet de loi.

Zbigniew RYKIEL (Poland), Profesor of human geography; The Casimir the Great Academy at Bidgoszcz / E-mail (private): krykiel@poczta.onet.pl , Iwona JAZDZEWSKA (Poland), Dr. £ódz University

Des changements du rôle et de l’extension média en Pologne dans le procès des transformations de système.

Le média a été une partie importante sur le “front idéologique” des anciens états communistes. Au lieu d’être un moyen de communication dans la société, il a servi de barrage pour les informations de l’extérieur, son but étant celui de ne pas les laisser pénétrer au-délà des “rideaux de fer”. Les journaux, les chaînes TV et radio étaient non seulement la propriété de l’état, mais aussi dans les mains du parti. Au niveau national et au niveau régional aussi, les journaux etaient divisés en deux groupes principaux: (1) des représentants des Comités Centraux ou Régionaux du Parti et (2) des journaux ainsi-dites “indépendents” qui représentaient aussi la ligne politique du Parti. Il n’y avaient que quelques journaux locaux et pas mal de fois ils représentaient les grands complexes industriaux des banlieux des villes. Le territoire national a été relativement isollé des nouvelles de l’extérieur, dans le sens qu’on n’en importait qu’une petite quantité pour la diffuser au public. Il serait intéressant de signaler le fait que les points de vue étrangers opposés aux opinions politiques du Parti étaient interprétés officiellement comme des “agressions idéologiques”; cela a impliqué l’application du dicton cuius regio, eius religio rule. Le but de cette présentation est d’indiquer la manière dans laquelle la mutation politique de 1989 a engendré une expansion quantitative et une propagation spatiale du média, en incluant les journaux nationaux, locaux et régionaux. On analysera aussi l’expansion des chaînes privées TV et radio en ce qui concerne les innovations dans le procès de diffussion. Cela sera discuté dans le langage des nouveaux phénomènes économiques, comme par exemple les changements économiques et sociales.

Lavinia STAN (Canada), PhD, Department of Political Science, Dalhousie University / Arts and Administration Bldg, Room 354; HALIFAX, NS; Phone: (902) 494-6608; E-mail: lstan@stfx.ca, lstan@is.dal.ca

Hais ton voisin: Chauvinisme dans l’ère post-communiste.

En fin de 2000, le parti “La Grande Roumanie” est devenu le plus important parti opposant dans le Parlement roumain, lorsque son leader charismatique et virulent anti-hongrois et anti-sémite Corneliu Vadim Tudor a gagné le premier tour des élections présidentielles. Tudor n’a pas gagné en fin la présidence, mais cela, seulement parce que des milliers de pro-démocrates et d’électeurs pro-réformés ont décidé de soutenir Ion Iliescu, un ex-officiel leader communiste, connu pour son entente envers la démocratie de type occidental et envers l’économie capitale. Comme leader de l’opposition, Tudor a continué d’exercer une influence considérable dans la vie politique roumaine. Cette thèse examine les écrits de Tudor et d’autres membres importants du Parti ‘La Grande Roumanie’, reflétés dans «La Grande Roumanie» le journal officiel du parti. La thèse montre ensuite la promotion par l’intermède de ces écrits, des images chauvinistes d’«eux» (les membres des minorités réligieuses et ethniques du pays, des états occidentaux et les institutions financières internationales) en opposition avec «nous» (les vrais roumains patriotes).

Dr. Florin STRETEANU (România), Maître de conférences, Faculte de droit, Université “Babeº-Bolyai” Cluj-Napoca / 79/A, rue S. Albini, 3400 Cluj-Napoca; Téléphone: (40) 94.26.86.08; Fax: (40) 64.19.55.04; E-mail: sflorin@law.ubbcluj.ro

Le rôle du média dans une société démocratique selon la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Selon la Cour, la liberté d’expression constitue l’un des fondements essentiels d’une société démocratique. Cette liberté vaut non seulement pour les informations ou les idées accueillies avec faveur ou considérées comme inoffensives mais aussi pour celles qui heurtent, choquent ou inquiètent. La jurisprudence a statué de façon constante que ces principes revêtent une importance particulière pour la presse, qui doit jouer son rôle de «chien de garde» de la démocratie. La liberté de la presse n’est pas incompatible avec certaines restrictions ou conditions mais celles-ci sont scrupuleusement examinées par la Cour, compte tenu du fait que l’information est un bien périssable et qu’un retard de la publication, même pour une brève période, risque de la priver de toute valeur et de tout intérêt. En même temps, le droit à une information pluraliste est un aspect essentiel de la liberté d’expression car il vise aussi le droit du citoyen de capter plusieurs messages, de choisir entre eux et de former ainsi son propre jugement. Ce principe vaut d’autant plus quand il s’agit des informations ou des débats sur des questions d’intérêt général. De plus, la Cour s’est montrée très vigilante à l’égard des décisions de condamnation prononcées à l’encontre des journalistes. Dans ces cas les Etats doivent garder un juste équilibre entre l’intérêt de protéger les droits et la réputation d’autrui et le droit du journaliste de contribuer à la discussion publique sur des questions qui intéressent la collectivité. Le libre jeu du débat politique se trouve au cœur même de la notion de société démocratique et pourtant, les limites de la critique admissible sont plus larges à l’égard d’un homme politique que d’un simple particulier. De plus, ces limites sont encore plus larges à l’égard du gouvernement que d’un homme politique. En ce qui concerne l’exceptio veritatis la Cour considère qu’il faut distinguer avec soin entre faits et jugements de valeur. Si la matérialité des premiers peut se prouver, les secondes ne se prêtent pas à une démonstration de leur exactitude. Dans la mesure où une législation nationale impose aux journalistes l’obligation de prouver la vérité des jugements de valeur, cette condition porte atteinte à la liberté d’opinion elle-même, élément fondamental du droit garanti par l’art. 10 de la Convention. Enfin, l’art.10 de la Convention protège en principe les journalistes contre la contrainte ou l’ordre de révéler leurs sources car l’absence d’une telle protection pourrait dissuader les sources journalistiques d’aider la presse à informer le public sur des questions d’intérêt général.

Dr. Serguei TARKHOV (Russia), Research to Institute of Geography, Russian Academy of Sciences / Staromonetnyi per 29, Moscow 109 017; Tel: (095) 142-09-30; E-mail: tram-tarkhov@mtu-net.ru

La différenciation régionale dans le développement récent du média en Russie.

Le colapse du système dans l'ancien URSS a mené à une de-idéologisation de tout média dans le territoire post-soviétique. Le numéro des copies des journaux et des revues (l'abonnement était obligatoire presque pour chaque citoyen avant 1991) en Russie a été réduit entre 1990 et 1995 de 268, 6 à 43, 9 milions. Une autre raison de cette réduction a été l'augmentation des prix de l'abonnement. Chaque centre provincial avant 1990 a eu seulement 2 journaux – spécialement pour les jeunes communistes. Chaque ville avait un journal local avec 3-4 éditions par semaine. Quelques grandes usines et des fabriques avaient leur journal au tirage réduit -1-2 éditions par semaine( les sous nommés 'mnogotirazhka' des journaux aux multi-copies) avec un nombre réduit des copies (pas plus que 1000 ou 2000). L'influence principale dans le média régional imprimé était detenue par les journaux centraux comme: 'Pradva" ("La vérité" , le journal principal du parti communiste), "Izvestiya" ("Les Nouvelles", le journal principal du parlement et du gouvernement), "Komsomol skaya Pradva" ("La vérité de la jeunesse communiste" le journal principal de l'organisation des jeunes communistes) et "Trud" ("Labeur"- le journal principal des sindicats). Alors, la démocratisation de la vie sociale en 1990 a mené à une augmentation des diversités du média imprimé. Le procès de la re-centralisation commence de nouveau en 2000-2001. Les transmissions TV ont été dans l'ancien URSS sur un système super-centralisé, pareil au système média imprimé. Une seule chaîne était diffusée partout, en usant un système satellite. Chaque centre provincial avait un poste local TV qui était diffusé au public pendant des heures limitées. Moscou et St-Petersburg (l'ancien Leningrad) tenaient l'exclusivité et elles avaient 2-4 chaînes de plus. Après la chûte du système communiste le système de transmission TV a changé rapidement. La nouvelle chaîne d'état RTR -chaîne 2- est fondée en 1990-91 et elle est devenue la chaîne officielle. L'ancienne chaîne officielle - chaîne 1 a été privatisée et a changé le nom en ORT. La chaîne indépendante NTV – chaîne 4 a été fondée en 1993-94 et a été diffusée dans l'entière Russie jusqu'en avril 2001 quand sa direction s'est disolvée et a perdu le haut niveau de réputation, après les fortes pressions de la part du guvernement. Les companies régionales TV sont apparues en 1991-1992 très rapidement et en grand nombre. Il y a une compétition accerbe entre elles pour l'influence sur la population locale. Ces compagnies dépendent des autorités locales et les groupes locaux informels. Les transmissions TV en Russie ont une distribution très inégale. Si, les grandes villes comme Moscou et St-Petersburg ont 6-9 chaînes (inclus TV cable), les centres provinciaux ont seulement 2-3 chaînes centraux et leurs chaînes propres. Seul 16% de toute la population de Russie ont accès aux 4 chaînes, 67% -aux 3 chaînes, et 29% aux 2 chaînes. 3% de la population n'ont aucun accès et n'ont pas d'appareil TV.

Timea TÃTAR (Hungary), Eötvös Lorand University, Budapest / 1037 Budapest, 35 Kunigunda Street; Tel: 00. 36-20-33.69.660; E-mail: tatar_timea@freemail.hu

La reflexion de la loi du “statut des Hongrois” dans la presse roumaine et hongroise.

L’étude présentée a une thèse d’intéret énorme dans cette période, notamment la loi qui est connue comme “la loi du statut des Hongrois”. Cette loi inclut toutes les personnes d’ethnie hongroise du basin de Carpates. En ce qui concerne la Roumanie, le numéro des personnes d’ethnie hongroise se réduit à aproximativement 7% de la population (voir le recensé de 1992). L’étude se résume à la formation d’une image générale sur la presse hongroise, d’une part, et de celle roumaine d’autre part, regardant la présentation de la loi mentionnée. Dans le cas de l’Hongrie on a pris en considération les quotidiens nationaux: “Nepszabadsag”, “Magyar Nemzet” et “Magyar Hirlap”, mais aussi les hebdomadaires nationaux: “HVG” et “Figyelo”. De la presse roumaine on a pris comme base d’étude les jounaux: “Adevãrul”, “Jurnalul Naþional” et “România Liberã”. Par la présentation de la loi et aussi des variantes et des modifications apparues dans le média des deux pays, nous nous proposons d’analyser: l’objectivité dans la transmission de l’information, la communication correcte des faits et l’information prompte sur le sujet.

Marina THORBORG (Sweden), Dr. doc. Assoc. Prof. economic history, Soedertoern Hoegskola, Stockholm, E-mail: marina.thorborg@sh.se

Média, corruption et transparence.

Le rôle du média dans une démocratie en contraste avec les sociétés communistes. La manière dont notre culture occidentale comprend la transparence dans la vie publique et dans la culture démocratique vue dans une perspective globale, avec référence particulière à Scandinavie, l’est de l’Europe et aux démocraties en cours de développement d’Asie d’Est et à Singapore, comme un exemple non-corrompu mais aussi un non-démocratique. Les dividends du développement dans des sociétés plus ouvertes et le rôle du média de devenir le tiers pouvoir. Une discussion comment le fardeau de la corruption dans la société est distribué et comment il affecte la société à long et à court terme. On va donner des références spéciales sur la Roumanie et les états baltes. Il y sera incluse aussi une discussion sur l’entente culturelle de la corruption, et un index sur la transparence.

Ada Mirela TOMESCU (România), Conferenþiar Dr., Facultatea de ªtiinte Economice, Universitatea din Oradea, Str. Armatei Române, Nr. 5; Tel: 00.40.59.43.28.30 / Int. 247; Fax: 00.40.59.47.63.80; E-mail: adat@idd.uoradea.ro

Le rôle du média dans la formation d’oppinion publique et la gestion des conflits.

Le conflit est omniprésent dans la société humaine. Les individus ou les groupes humains s’impliquent dans des conflits dûs à ses intérêts et valeurs qui entrent dans une permanente compétition. L’influence du média dans un débat public est évidente. Le média peut jouer le rôle de médiateur pendant les débats qui naissent au coeur de l’opinion publique. L’idée centrale du procès du médiation est celle d’”information consentie”. Le moment que les participants à un débat comprennent la nature et les répercussions (bonnes ou pas bonnes) d’un procès de médiation, en consentant à y participer, virtuellement, la médiation est un procès applicable et à grandes chances de réussite. Parmi les vertus du média indépenden, l’une doit être l’information de l’opinion publique d’une manière correcte, impartielle, claire. Il a la responsabilité de servir la communauté démocratique. Les soit-disants exponents “indépendents” du média peuvent jouer le rôle de médiateurs dans tels débats. Premièrement en assumant le rôle de faciliteur de la communication, puis de cataliseur, d’éducateur et en fin celui de clarifier les faits.

Doina ÞIBU (România), PR Manager University of Oradea / Armatei Romane Str. 5; Tel: 00.40.94. 525581; E-mail: dtibu@univ.uoradea.ro

Corporations/organizations et le média: comment transmettre notre message au monde.

Je m'appelle Doina Tibu et je suis PR Manager a l'Université d'Oradea, lieu ou l'échange d'information met de la lumière dans des problèmes avant inconnus ou vaguement connus par beaucoup de gens. Comment est-ce que je communique mon message? La réponse à cette question a affaire seulement avec les opportunités offertes par un médium. Et cette question est l' une des plusieurs de ce type: "Qu'est-ce que je veux partager avec le client par l'intermède de ce médium; qui est de l'autre côté? Et celles-ci sont seulement des parts d'un bon plan média pour n'importe quelle campagne média, soit elle petite ou grande, ou limitée aux circulaires locales ou aux réseaux nationaux de télévision. Une bonne campagne média ne se résume pas toujours à beaucoup d'argent et d'énergie. Il s'agit plutôt de transmettre le message aux clients et aux groupes intéressés, par une communication efficiente via média. Il s'agit de quel type de média je choisis. Il est ainsi important de savoir comment fonctionnent les différents médias. D'habitude je fais un plan média pour acccomplir des buts définis dans un plan PR. Et pour un abord systématique du PR, le travail promotionnel, la recherche, l'analyse et les buts bien contourés sont essentiels dans le projet de la stratégie de l'organisation. Les Relations Publiques visent, ainsi, ce qu'on pourrait nommer: la stratégie communicationnelle. Stratégique, parce-qu'elle a affaire continuellement aux politiques bien contourées. Et elle inclut tous les niveaux de communication: entre une organisation et le pulic avec lequel elle travaille, entre l'organisation et la société, à l'intérieur d'une organisation, et entre des organisations. Ce que je dois faire est d' organiser cette communication. Je pourrais appeller les Relations Publiques l’organisation de la communication d’une organisation. Cela doit se faire dans une manière structurée et planifiée. L’organisation de la communication d’une organisation. Cela doit trouver sa source dans la politique de l’organisation et être en corrélation avec la stratégie managériale. Cela a besoin d’énergie et les efforts dépendent de la coopération de chacun de l’organisation. PR existe pour qu’une organisation apprenne à se comporter, c’est de ceci que la communication avec le public dépend. Je comprends par cela qu’une bonne relation entre tous les groupes est importante pour une compagnie. Comment se forme l’image? Premièrement par l’expérience plus que par information ou promotion. Se comporter premièrement. Une organisation est jugée d’après son comportement et d’après la manière dont le président, les managers, les employés et les membres se conduisent. C’est pour cela que PR est considerée une fonction managériale de caractère continu et planifié, à travers laquelle les compagnies cherchent à gagner la sympathie, la compréhension et le soutien de ceux avec qui elles collaborent. Je vais présenter mon expérience basée sur des problèmes de quatre domaines: Services Publiques/ Administration Publique, Compagnies Privées, Compaignes Electorales et Universitaires.

Gordana VILOVIÆ (Croaþia), M.S., The Freedom Forum News Library, Faculty of Political Science, Zagreb University / Lepušiæeva 6, Zagreb; Tel: 385 1 46 55 494; Fax: 385 1 46 55 494; E-mail: freedom-forum@zg.tel.hr

La Croatie: sensationalsime et/ou “Journalism à investigation rapide” Mode dans les pays de transition de sud-est de l’Europe.

Le système multiparti, la démocratie et le écroulement des anciens régimes socialistes, a apporté une sorte de libéralisation pour la majorité des moyen médias; tant écrits qu’ électroniques. D’une part un média écrit, privé et indépendent a commencé à augmenter son tirage, conquérant le marché, mais en meme temps il y a un média électronique puissant, presque dans tous les pays en transition, qui se trouve dans les mains des partis au pouvoir, partis qui emploient le terme “chaines TV et radio publiques’ pour la télévision d’état. Le sujet de cette thèse est le média indépendent, privé et écrit, qui s’est nait avec les changements démocratiques et a survécu dans la dernière décennie, ignorant la guerre, les conflits ethniques, la durité économique ou la corruption. Celle-ci existent encore. Bien sur les gens pauvres ne croient pas tout ce qu’ils trouvent dans tels journaux, mais ils les achètent tout de meme. Maintenant, imprimés sur du papier plus qualitatif, en couleurs, encadrés par des designs modernes. Toute fois la formule de succès est la meme: usons de toutes les ressources pour vendre le plus grand nombre de copies possible. En luttant pour des lecteurs, avec une motivation de survivre sur le marché, dans chaque nouvelle édition, les éditeurs – des hebdomadaires ‘nationaux’ ou ‘globaux’ mais aussi des cotidiens – ont implémenté nouvelles-vieilles règles dans la présentation de la réalité. De telles règles qui sont très loin des standards professionnels d’un journalisme décent avec des normes et codes ethiques, ignorent la dignité humaine, loin de présenter des faits – et finalement, loin de la vérité. L’emploi de longues titres (par exemple, meme 29 mots), le ‘journalisme à investigation rapide’, avec des faits pas confirmés, avec une fabrique de contes et d’articles qui n’ont rien en commun avec leurs titres, est un produit de la nouvelle démocratie en Croatie. Il ne s’identifie pas encore avec le journalisme ‘jaune’ américain ou les journaux de scandal britanniques, déjà connus dans les pays développés. Combien de temps ce type de journalisme va durer? Pourquoi semble-t-il impossible de faire un journal avec une pratique professionnelle crédible? Qui est responsable de cette mode négative? Les journalistes, eux-memes, ou la nature des temps de transitions ou les états civiques manquent?

Jan WENDT (Poland), Professor, Department of Political Geography, University of Gdansk / Al. Marszalka Pilsudskiego 46; 81-378 GDYNIA; Tel: (4858) 621.70.28. ex.32; E-mail: jwendt@oprogramowanie.pl

Le média et le problème de la vie publique et de la culture démocratique en Pologne.

Après 1990, tout a probablement changé le média et la vie politique en Pologne. Beaucoup de revues nouvelles, de radios et de programmes T.V ont ete initiées. L'écartement de la censure a mené à la publication des plusieurs articles, programmes et services de radiotélévision controversées. La politique guvernamentale du média a changé elle-aussi. Plusieurs systèmes d'information ont été fondés. Quand même, après 3-5 années, après 5 guvernements en Pologne, 2 présidentielles, 3 élections parlamentaires, le rôle du média indépendente a changé de nouveau. Chaque nouvelle élite politique, après l'établissement de leur gouvernance, a commencé à subordonner de différents types de média à leurs buts politiques. L'entier procès a commencé après l'installation du "Conseil D'état de la Radio et Télévision". Les membres de ce conseil sont choisis par le président, le Parlement Polonais, Sejm et le Sénat, fait qui a engendré que toutes les décisions soient strictement politiques. Le pas suivant dans le procès du control média par l'élite politique a été fait dans le procès de donner une concession à la radio et aux programmes TV de différents postes. Le même problème se rencontre au niveau local. On peut voir comme l'élite de la politique locale n'accorde aucune attention aux problèmes montrés par le média. Il n' y a pas de responsabilités politiques pour aucun acte, même si cela est montré par le média et normalement il devrait être puni par la loi polonaise. Les dernières 5 années, on a pu voir sur la scène polonaise, grâce au média, beaucoup de problèmes (e.g. les problèmes de la corruption), mais il n'y a aucune connection entre l'influence du média et la vie politique en Pologne.